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Un projet pour 2025 :
Pour aller plus loin, nous souhaitons que l’APEED ou le CNDR accueillent un volontaire DCC d’ici un an. Mais ces structures n’en on pas les moyens, voilà pourquoi nous faisons appel à votre générosité pour trouver 6000 € qui permettront de couvrir les charges d’une année pour un poste en volontariat international (billets d’avion, visa, salaire).
Pour nous soutenir, cliquez pour sur ce lien :
1200 € pour l’APEED
L’Association Pour l’Education des Enfants en Difficulté (APEED) fait partie désormais des partenaires de confiance de Solidarité Nantes Parakou. En effet, grâce au travail de Barthélémy, son président, de Léla, la secrétaire et des bénévoles ce sont environ 120 élèves de collège et de lycée qui sont aidés pour leurs études. L’APEED leur fournit les manuels scolaires, les uniformes et des cours de soutien. Certains reçoivent une aide pour des frais de santé. L’APEED a ouvert en 2023 une bibliothèque en aménageant un conteneur. Pour plus d’infos vous pouvez regarder sur https://www.facebook.com/APEEDBenin/?locale2=fr_FR&_rdr
1500 € pour le CNDR
Beaucoup de nantais ayant fait le voyage à Parakou sont passés au Centre Notre Dame du Refuge (CNDR), dans le village de Komiguéa, qui dépend du diocèse. Avec Gisèle, Céline, Kondé, et des religieuses vivant sur place, les 31 garçons orphelins de père ou de mère trouvent un soutien pour leur éducation et leur formation. Scolarisés dans les écoles catholiques du village ou en lycée public, intégrés à la paroisse, ils participent aux travaux de l’orphelinat au potager, à la porcherie, et la cuisine sans oublier le match de foot chaque dimanche après-midi.
L’internat de Babarou
A l’Ouest de la route Parakou-Cotonou se trouvent des villages vivant uniquement de l’agriculture et éloignés des axes goudronnés. C’est dans cette zone que se trouve Babarou : un petit village où des enfants vont à l’école parce qu’ils sont accueillis à l’internat.
Le Père Romuald est chargé de suivre cet ensemble.
L’association a envoyé 1 500 € pour l’achat de batteries et de panneaux solaires qui donnent désormais une autonomie énergétique à cet internat.
L’ APEED (Association Pour l’Education des Elèves en Difficulté)
Cette association non confessionnelle soutient des élèves de l’enseignement public. Le personnel éducatif de certains collèges-lycées de l’agglomération de Parakou signale ces élèves et certains d’entre eux bénéficient d’un suivi avec des animateurs, d’une bourse pour payer leurs frais scolaires, des frais médicaux, de l’éclairage pour travailler en soirée ou des cours du soir pour passer le BEPC et le baccalauréat.
Certaines classes sont surchargées : Ouchamat est dans une classe de 62 élèves ; Rafa dans une classe de 59.
Voici quelques élèves qui sont venus le jour de ma visite. L’une d’elles nous dit : « je me suis retrouvée enceinte en classe de 4e et j’ai dû arrêter l’école pendant un an ; grâce à l’APEED j’ai repris les cours. ». Un autre élève témoigne : « Je remercie tous les partenaires, que Dieu les bénisse car nous avons les livres et la bibliothèque, maintenant à nous de travailler. »
L’APEED fonctionne avec une secrétaire salariée et 4 animateurs bénévoles en voici certains dans cette photo.
Pour l’année scolaire 2022-2023, l’APEED a soutenu 122 élèves.
Solidarité Diocésaine 44 a envoyé un don de 1 200 € qui a permis de soutenir 12 élèves.
Initié en 2014 par les évêques de Nantes et de Parakou, il est piloté par un comité diocésain qui en assure l’information et la promotion. Solidarité Nantes-Parakou est le volet caritatif du jumelage. Sa comptabilité est hébergée par l'Association Solidarité diocésaine 44.
Père Benoît Luquiau, Mission Universelle du diocèse: " J’ai gardé de mes 4 années à Parakou des amitiés durables. Et pour moi le jumelage c’est cela avant tout : accueillir des délégations de parakois, aider des nantais à découvrir le Bénin, faire grandir la fraternité, élargir la table du repas et de l’eucharistie. Mais nous vivons dans des contextes économiques bien différents. Il n’est pas possible d’être frères et sœurs sans envisager la solidarité financière. Déjà, quelques aides ont permis à des personnes courageuses de réaliser des beaux projets au service au service de la jeunesse, des enfants, ou d’adultes en difficulté. Ensemble, grâce à nos efforts, nous pourrons développer un jumelage prometteur. "
Abbé Max-Cyr Lafia, prêtre du diocèse de Parakou, chargé du jumelage avec le diocèse de Nantes.
" Le jumelage commencé il y a quelques années entre les diocèses de Nantes et de Parakou, est un lieu particulier de fraternité et de solidarité entre ces deux églises. L’ancien évêque de Nantes et initiateur du jumelage, Monseigneur Jean-Paul James, a vu dans la scène de la visitation de Marie à Élisabeth une très belle expression de notre jumelage. Effectivement nos deux diocèses veulent se voir comme deux parentes porteuses de grâces salvatrices exceptionnelles et appelées à se soutenir malgré les différences et particularités de chacune.
Je voudrais dire une fois encore merci à vous tous frères et sœurs, amis, bienfaiteurs et donateurs, qui nous aidez à vivre cette solidarité et à la concrétiser par vos dons de diverses natures et sous des formes variées. Grâce à vous le diocèse de Nantes nous aide à faire vivre
nos paroisses, écoles, centres de santé et beaucoup d’autres réalisation par lesquelles nous voulons montrer que Jésus-Christ est venu pour le salut de nos âmes et de tout notre être humain. Merci de votre générosité de toujours. Je vous donne l’assurance de nos prières pour vous tous. Que la bénédiction de Dieu vous récompense largement. "